La Haute-Saint-Charles

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La Haute-Saint-Charles - Guylaine Guillemette

La Haute-Saint-Charles

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L'arrondissement de La Haute-Saint-Charles a été créé en 2002. Constitué à ses débuts des anciennes municipalités de Lac-Saint-Charles, de Loretteville, de Saint-Émile et d'une partie de Neufchâtel, il comprend, depuis 2009, le secteur de Val-Bélair de l'ancien arrondissement Laurentien. Avec sa superficie de plus 148 km2, c'est le plus grand des six arrondissements de la ville de Québec. Il comprend trois districts électoraux : de Loretteville-Les Châtels, de Val-Bélair et de Lac-Saint-Charles–Saint-Émile.

Le territoire de La Haute-Saint-Charles porte l’empreinte d’une histoire qui remonte au milieu du 17e siècle. À ce moment-là, il couvrait, en partie, quatre seigneuries : les seigneuries de Saint-Ignace et de Saint-Gabriel qui sont concédées à Robert Giffard en 1647, la seigneurie de Gaudarville dont la concession est accordée à Louis de Lauson en 1652 et la seigneurie de Guillaume-Bonhomme concédée en 1682.

La municipalité de la paroisse de Saint-Ambroise-de-la-Jeune-Lorette prendra naissance au 18e siècle. Par la suite, de ce territoire se formeront les villes de Loretteville, de Neufchâtel, de Saint-Émile, de Lac-Saint-Charles et de Val-Bélair (Saint-Gérard-Majella à l’époque).

Au 19e siècle, Loretteville et Saint-Émile se sont développées grâce à l'industrie du cuir provenant de la culture huronne-wendat. Neufchâtel naîtra, pour sa part, de l'agriculture et Lac-Saint-Charles, de l'exploitation du bois. Val-Bélair est quant à elle issue de la villégiature et de l'agriculture.

Aujourd'hui, le développement urbain se distingue par la dominance de la vocation résidentielle. L'activité commerciale y tient aussi une bonne place.

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